- EAN13
- 9782889058228
- Éditeur
- Éditions Jouvence
- Date de publication
- 22/08/2022
- Collection
- Questions de société
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Autre version disponible
-
Papier - Jouvence 16,90
À travers les images d’un kayak, d’un barrage, d’un lac et d’une rivière, Paul
Dewandre explique de manière très convaincante pourquoi, dans le contexte
économique et sociétal actuel, il est essentiel de revoir ses priorités pour
construire sa vie et s’adapter au nouveau monde.
À l’image des castors, les survivants de la Seconde Guerre mondiale avaient
entrepris la construction d’un grand barrage protecteur sur le cours d’eau de
la vie afin de vivre heureux sur un lac protégé des courants.
Aucun édifice n’est cependant assez solide pour résister indéfiniment aux
évolutions technologiques, au renouvellement des générations, à la
mondialisation ou encore au réchauffement climatique.
La population d’après-guerre pensait avoir dompté la nature. Elle a fini par
la saccager.
Heureusement, la fin d’un monde obnubilé par la croissance et le profit ne
signifie pas la fin du monde.
En retrouvant la rivière, de plus en plus de kayakistes créent de nouvelles
formes d’organisations sociales connectées et solidaires où la confiance, la
bienveillance et la coopération prennent le pas sur le contrôle, le cynisme et
l’autorité. Paul Dewandre nous invite à les rejoindre au plus vite en
inversant notre pyramide de Maslow.
Le monde a aujourd’hui un besoin urgent de notre humanité !
Dewandre explique de manière très convaincante pourquoi, dans le contexte
économique et sociétal actuel, il est essentiel de revoir ses priorités pour
construire sa vie et s’adapter au nouveau monde.
À l’image des castors, les survivants de la Seconde Guerre mondiale avaient
entrepris la construction d’un grand barrage protecteur sur le cours d’eau de
la vie afin de vivre heureux sur un lac protégé des courants.
Aucun édifice n’est cependant assez solide pour résister indéfiniment aux
évolutions technologiques, au renouvellement des générations, à la
mondialisation ou encore au réchauffement climatique.
La population d’après-guerre pensait avoir dompté la nature. Elle a fini par
la saccager.
Heureusement, la fin d’un monde obnubilé par la croissance et le profit ne
signifie pas la fin du monde.
En retrouvant la rivière, de plus en plus de kayakistes créent de nouvelles
formes d’organisations sociales connectées et solidaires où la confiance, la
bienveillance et la coopération prennent le pas sur le contrôle, le cynisme et
l’autorité. Paul Dewandre nous invite à les rejoindre au plus vite en
inversant notre pyramide de Maslow.
Le monde a aujourd’hui un besoin urgent de notre humanité !
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