- EAN13
- 9782220076324
- Éditeur
- Desclée De Brouwer
- Date de publication
- 18/09/2014
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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On n'existe plus ! Cette plainte est caractéristique de toutes les personnes
qui ont le sentiment d'avoir perdu leur place dans la société. Ce phénomène de
désinsertion sociale est nouveau et touche un nombre de personnes de plus en
plus important. La lutte des places n'est pas une lutte entre des personnes ou
entre des classes sociales. C'est une lutte d'individus solitaires contre la
société pour trouver ou retrouver une « place », c'est-à-dire un statut, une
identité, une reconnaissance, une existence sociale. Cet ouvrage décrit, à
partir de récits de vie, différents aspects de l'exclusion et diverses formes
de désagrégation du lien social. Il montre comment des individus entrent dans
l'engrenage de la désinsertion et présente les stratégies pour tenter de s'en
sortir. Il analyse également pourquoi les réponses politiques et
institutionnelles se sont avérées, jusqu'à présent, impuissantes pour enrayer
ce phénomène.Nouvelle édition augmentée.Vincent de GAULEJAC, sociologue, est
directeur du Laboratoire de changement social.Frédéric Blondel est sociologue
et consultant.Isabel Taboada-Leonetti, disparue en 2005, était sociologue et
chercheur au CNRS.
qui ont le sentiment d'avoir perdu leur place dans la société. Ce phénomène de
désinsertion sociale est nouveau et touche un nombre de personnes de plus en
plus important. La lutte des places n'est pas une lutte entre des personnes ou
entre des classes sociales. C'est une lutte d'individus solitaires contre la
société pour trouver ou retrouver une « place », c'est-à-dire un statut, une
identité, une reconnaissance, une existence sociale. Cet ouvrage décrit, à
partir de récits de vie, différents aspects de l'exclusion et diverses formes
de désagrégation du lien social. Il montre comment des individus entrent dans
l'engrenage de la désinsertion et présente les stratégies pour tenter de s'en
sortir. Il analyse également pourquoi les réponses politiques et
institutionnelles se sont avérées, jusqu'à présent, impuissantes pour enrayer
ce phénomène.Nouvelle édition augmentée.Vincent de GAULEJAC, sociologue, est
directeur du Laboratoire de changement social.Frédéric Blondel est sociologue
et consultant.Isabel Taboada-Leonetti, disparue en 2005, était sociologue et
chercheur au CNRS.
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